Livres saints

Dans cet article, nous nous interrogeons sur la nature de Dieu, bon ou méchant, du Dieu juge. Que pensez de tout ceci ? La croyance du monde non éclairé se pratique à base d’une conception d’images faisant une réalité formelle. Elle est le résultat d’une série de faits conçus à travers une représentation de ce que le croyant a connu dans le passé et le résultat obtenu sur l’analyse de l’objet observé à l’instant présent. Cette croyance est de nature scientifique car le fidèle a toujours besoin d’une référence formelle, d’un élément sur lequel il s’appuie pour pouvoir poursuivre sa théorie. D’où ses questionnements sur le Dieu juge, le Dieu bon et le Dieu méchant.

Cette croyance relève le pouvoir de création que l’Homme a hérité de son créateur. Elle est pratiquée de nos jours dans tous les secteurs institutionnels y compris celui de la religion et est confondue à celle instinctive (la croyance par la foi) qui se relève de la conviction par la foi, agir par révélations sans référence formelle. C’est avec la croyance sans conscience qu’on parle du dieu juge, de la connaissance du mal et du bien sans chercher à transcender cette dimension pour celles les plus élevées.

Nos actes, responsables de nos malheurs

Parlant de la nature de Dieu, l’homme est un créateur, tout se crée avec une force de pensée de croyance sur une conviction bien déterminée et la parole rend ce qui a été créé manifeste. C’est ce qui me laisse dire qu’ autant de pensées, autant de mondes ; ou qu’autant d’individus, autant de mondes ; car chaque être-humain crée d’abord son propre monde avant de chercher les mondes similaires au sien avec qui il fera fusion ou adhésion . Ce qui explique une multitude de mondes dans le vrai et unique monde : l’œuvre de la providence divine.

Quand un être-humain crée son monde, il a une vision correspondante à celui-ci, une façon de voir la vie et d’analyser les choses. C’est un monde qui est dirigé par une pensée, construit à travers des expériences de vie selon les circonstances du milieu dans lequel il évolue. Il instaure ses règles et ses lois qui façonneront à la longue un mode de vie répondant aux critères de l’exercice de son mental. Ce qui est écœurant dans tout ceci est que tout se passe sans que l’on puisse en être conscient. En ce moment, quand on veut faire allusion du monde suite à un vécu personnel, on identifie son monde à celui du divin (le monde universel). On généralise un vécu personnel sans en être conscient.

Nature de Dieu et souffrances humaines

Les peines ou difficultés font le résultat d’une fausse marche. Quand on opère hors du périmètre d’une surface, il est logique que l’on ne puisse arriver à trouver la surface (les dimensions) de l’espace avec lequel on travaille. Aussi longtemps que la surface est ignorée, il est impossible d’identifier la forme de cette figure. Donc, l’impossibilité de pouvoir donner les dimensions exactes de celle-ci rend l’exercice compliqué. En insistant dans cette voie, on ne peut rencontrer que des difficultés qui provoqueront à la suite beaucoup de peines qui entraîneront à la souffrance. Visualisez cet exemple pour comprendre la raison de la souffrance de l’Homme

Au cour de la vie, on rencontre beaucoup de difficultés qui sont synonymes du mode de vie qu’on s’est fixé, difficultés qui font appel à une reviviscence de son esprit (mental). En réalité, s’il revenait à l’Homme de revoir l’état de son mental de temps en temps, il serait très heureux et comblé durant tout le parcours de sa vie sur terre. C’est ce qu’un bon nombre de personnes ne réalise pas dans leur vie. C’est aussi ce qu’on appelle la vie en pleine conscience, synonyme de la vie dans la grâce ou encore guidée par le Saint-Esprit. Cet état de conscience donne accès à l’école de sagesse qui, à travers de grandes révélations sur la nature des aspects de la vie, instruit. Par contre, beaucoup ne font pas attention aux signes qu’ils reçoivent à ce sujet et restent complètement enfermés dans leurs concepts qui, à la longue les entraînent à avoir des conditions de vie déplorables : donc de la souffrance corollaire des conflits non résolus, l’origine de toutes sortes de troubles à l’instar des maux voire maladies incurables ou chroniques.

Le pouvoir du mental dans la croyance

Tout être qui a pour option une vie totalement dirigée par son mental, se retrouve d’une manière ou d’une autre dans un état de conscience rationnelle, sujet de discordes et de divisions. Le mental n’approuve que ce qui lui est familier, le produit de l’imagerie qu’il s’est faite (le stockage des connaissances acquises dans le vécu). De l’imagerie naissent les pensées et des pensées la croyance qui selon le croyant, constitue la réalité. La réalité qui est le mental humain, le produit de la croyance peut être pour ce dernier l’enfer ou le paradis ceci dépend de l’état de sa conscience.

Certaines personnes rencontrent des sérieux problèmes quand il leur est demandé d’imaginer un fait avec lequel ils n’ont jamais eu affaire. Ils leur revient impossible de constituer un fait imaginaire aussi longtemps qu’ils n’ont aucune image sur laquelle ils peuvent se baser. le peuvent pas car ce sont ceux-là qui fonctionnent seulement avec un seul hémisphère du cerveau, celui qui est responsable de la logique. l’Hémisphère responsable de la créativité n’étant pas développé, la capacité de percevoir des faits non logiques devient quasiment impossible. Raison pour laquelle selon eux, ce qui ne peut être prouvé ne compte pas dans l’histoire de l’existence.

Le mental doit être au service de l’Humain

Cet état comprime le cerveau et limite sa croissance. Le mental qui devrait être au service de l’Homme prend le dessous. L’Homme se met à son service en répondant juste aux attendes de ce dernier. Il croit en outre que tout ce que son mental le dicte est ce qui est et s’adapte. Les difficultés commencent dès qu’il est confrontés aux nouvelles connaissances. l’Homme modelé laisse difficilement ce qui lui est étrange dans son secteur de croyance. C’est ce qui relève les conflits. À cet effet, il est évident que l’on rencontre régulièrement les conflits corollaires des désaccords d’opinions opposées aux siennes. Une telle vie frustre. La frustration étant un sentiment d’impuissance, quand elle fait fasse, on ne peut se passer de l’envie de prouver le contraire aux autres. Vous pouvez imaginer ce qu’elle peut produire dans les états d’être des hommes.

Le mental qui devrait être au service de l’Homme prend le dessous. L’Homme se met à son service en répondant juste aux attendes de ce dernier. Il croit en outre que tout ce que son mental le dicte est ce qui est et s’adapte. Les difficultés commencent dès qu’il est confrontés aux nouvelles connaissances. l’Homme modelé laisse difficilement ce qui lui est étrange dans son secteur de croyance. C’est ce qui relève les conflits. À cet effet, il est évident que l’on rencontre régulièrement les conflits corollaires des désaccords d’opinions opposées aux siennes. Une telle vie frustre. La frustration étant un sentiment d’impuissance, quand elle fait fasse, on ne peut se passer de l’envie de prouver le contraire aux autres. Vous pouvez imaginer ce qu’elle peut produire dans les états d’être des hommes.

Ce qui est mieux à trouver dans la nature de Dieu

Il est indispensable de revoir la nature du sens de la vie, celle qui amène les êtres humains à retrouver leur être véritable. Beaucoup disent que cela ne peut être possible, certains en y croient. Mais peu importe la position dans laquelle on se trouve, l’importance est de chercher à revoir sa façon de penser sans toutefois se comparer aux autres ; on doit le faire pour soi sans chercher à imposer les autres d’en faire pareil. Ce dont il est question dans ce cas est d’entraîner son mental (esprit) à être éclairé. Sur ce, il est parfois nécessaire de se comporter en un ignorant lors des débats qui sont centrés sur la valorisation des états d’être ou de personnalité. On gagne plus en cherchant à s’instruire qu’à enseigner. En effet, c’est ce qui signifie être pauvre en esprit avec la parabole : « heureux ceux qui sont pauvres en esprit, le royaume des cieux est à eux ». Math.5:3.
Le but de toute cette action est de comprendre à la fin qu’on ne connaît jamais assez et que l’on doit toujours être disposé à apprendre.

Nous pouvons nous référer sur le comportement des enfants vis à vis de la curiosité qui les anime quand ils sont encore libres dans leur esprit. Quand ils n’ont pas encore développé la peur du rejet, ils posent toutes sortes de questions aux parents voire éducateurs car ils savent qu’ils ne connaissent rien de ce nouveau monde qu’ils ont accédé. Tel devrait être le comportement du croyant pour pouvoir amener son mental à l’ascension.
Ce genre de comportement fait élargir le champ de connaissances et entraîne l’Homme de sortir de son mental analytique. À ce stade, on devient conscient que l’on ne connaît jamais assez. « Connaître c’est reconnaître qu’on ne connaît pas assez. » (LIRE AUSSI Jours fiables de 2024 : les 2, 22, 24 février et les 4 et 24 avril).

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